Génie génétique chez les animaux
Liens
- Lien externe: Pesticide action Network - Suisse
- Lien externe: GM Food health risks (Non-GMO report)
- Lien externe: liste de publication sur le sujet : GM-Free Cymru (Wales)
- Lien externe: Film: Genetic roulette
- Lien externe: OFSP: Procédure d'autorisation
Documents StopOGM
Liens
- Lien externe: OFSP: Xenotransplantation
- PDF: OFSP: Xenotransplantation fiche d'information
- Lien externe: OFSP: Considérations éthiques de la xénotransplantation
- Lien externe: EKAH: Xenotransplantation
- Lien externe: TA-SWISS: Studie Zelluläre Xenotransplantation (1999-2001)
- Lien externe: OFSP: Autres pistes de lecture
Base légale
- Lien externe: Constitution fédérale: Art. 119a Médecine de la transplantation
- Lien externe: Loi fédérale sur la protection des animaux
- Lien externe: OFSP: Loi sur la transplantation
- Lien externe: Loi sur la transplantation
- Lien externe: OFSP: Ordonnances relatives à la loi sur la transplantation
- Lien externe: Ordonnance sur la xénotransplantation
Documents SAG (en allemand)
Der Zürcher Tierschutz hat eine ausführliche Studie unter dem Titel „Bio- und Gentechnik an Tieren“ veröffentlicht. Darin sind auch die neuesten Entwicklungen in der Xenotransplantation behandelt.Es wird befürchtet, dass bei Xenotransplantationen im schlimmsten Fall neue tödliche Krankheitserreger mit ungeahntem Verbreitungspotential unter Menschen entstehen könnten. Denn wenn Tierorgane in Menschen transplantiert werden, können die Krankheitserreger des Tieres auf den Menschen übertragen werden und verbleiben auf lange Zeit im menschlichen Körper. Sie erhalten auf diese Weise möglicherweise ideale Voraussetzungen, um die Artengrenze zu durchbrechen und vom Tier auf den Menschen überzuspringen.
Xenotransplantation
Image: www.popfi.com
La transplantation de cellules, de tissus ou d’organes entre deux individus de la même espèce (par exemple, d’une personne à l’autre) s’appelle allogreffe ou allotransplantation. On parle de xénotransplantation ou de xénogreffe lorsque des cellules, des tissus ou des organes sont transplantés d’une espèce à l’autre, par exemple, de l’animal à l’être humain.
- Lien externe – OFSP : Xénotransplantation
Déjà en 1984, le cas du bébé Fae est devenu célèbre. Un cœur de babouin lui a été transplanté, et on espérait que son jeune organisme le tolérerait. La réaction de rejet a été néanmoins plus forte que prévue, et Fae est morte 20 jours après l’opération suite à une destruction du cœur par le système immunitaire de l’enfant.
- Lien externe – Wikipedia : Baby Fae (en allemand)
- Lien externe – OFSP : Xénotransplantation d’organes – premiers essais
La xénotransplantation évolue beaucoup plus lentement que prévu. Les stratégies visant à éviter les risques d’infection et la réaction de rejet (mécanisme de défense du système immunitaire contre le tissu étranger) sont très complexes et les solutions difficiles à trouver. De plus, la xénotransplantation est concurrencée par la production de cellules souches et le génie tissulaire qui ont des objectifs identiques.
En 1999, le Groupe suisse de travail sur le génie génétique (GTG) demandait déjà une interdiction de la xénotransplantation. En guise de compromis, le GTG s’engageait en faveur d’un moratoire sur dix ans pour les essais cliniques de la xénotransplantation.
Avril 2012
Le risque d’infection lors de la xénotransplantation reste très controversé.
- Lien externe : Xenotransplantation-associated infections risk: a WHO consultation, avril 2012(résumé en anglais)
- Lien externe : Infectious risk in xenotransplatation - what post-transplant screening for the human recipient? juin 2011(résumé en anglais)
Février 2012
La réaction de rejet du système immunitaire humain reste un obstacle majeur à la xénotransplantation.
- Lien externe : T-cell-mediated immunological barriers to xenotransplantation(résumé en anglais)
Avril 2011
Selon le journal New Scientist, la Russie a autorisé la première greffe cellulaire d’origine animale vers l’être humain. La procédure autorisée a été inventée par l’entreprise néo-zélandaise Living Cell Technologies. En occurrence, il s’agit de cellules de porc produisant de l’insuline qui sont introduites dans le pancréas humain à l’aide d’une intervention chirurgicale. Apparemment, le bon dosage d’insuline produite par les cellules de porc constitue un facteur de risque.
- Lien externe : NewScientist(en anglais)
- Lien externe : Living Cell Technologies(en anglais)
- Lien externe : Révue médicale suisse 2012, 8:1342-1345
Loi sur la transplantation
Le Conseil fédéral a approuvé les ordonnances d’exécution le 16 mars 2006. Les ordonnances suivantes sont entrées en vigueur le 1er juillet 2007, en même temps que la loi sur la transplantation :
– Ordonnance sur la transplantation
– Ordonnance sur l’attribution d’organes
– Ordonnance du DFI sur l’attribution d’organes
– Ordonnance sur la xénotransplantation
– Ordonnance sur les émoluments en rapport avec les transplantations
Ordonnance sur la xénotransplantation
L’ordonnance sur la transplantation d’organes, de tissus et de cellules d’origine animale (ordonnance sur la xénotransplantation) ne règle pas la protection des animaux, mais, selon l’article 1, les essais cliniques et les traitements standards de xénotransplantation ainsi que les devoirs de diligence à respecter en la matière ; les mesures de sécurité et les règles de comportement que les personnes concernées par la xénotransplantation doivent observer ; la couverture de la responsabilité. L’utilisation des animaux ressources est soumise à la législation sur la protection des animaux, comme l’utilisation d’animaux d’expérience.
- Lien externe : Ordonnance sur la xénotransplantation, article 1
Selon l’article 18, il est interdit d’utiliser des primates comme animaux ressources. Cette interdiction se base sur le risque élevé d’infections et sur le fait que beaucoup de primates sont menacés d’extinction.
- Lien externe : Ordonnance sur la xénotransplantation, article 18
De plus, il est interdit d’utiliser à d’autres fins (par ex., l’alimentation d’êtres humains ou d’animaux) les organes, tissus ou cellules (y compris les lignées cellulaires) ainsi que les transplants standardisés d’origine animale qui ne sont pas utilisés pour la xénotransplantation ou qui ne sont pas nécessaires à la conservation des échantillons biologiques. Ils doivent êtres éliminés par une incinération directe ou par une stérilisation sous pression suivie de l’incinération ou de la production de combustibles précédant l’incinération.
PubliForum sur la médecine de transplantation
En novembre 2000, le Conseil suisse de la science et de la technologie a mené un PubliForum sur la « Médecine de transplantation ». Le panel de citoyens consultés n’a pas demandé un moratoire sur la recherche en xénotransplantation, mais des exigences élevées en matière d’éthique et un encouragement de méthodes alternatives à la xénotransplantation. Selon l’avis des citoyennes et citoyens participants, les éventuels avantages de la xénotransplantation ne peuvent compenser les risques importants générés par la transplantation d’agents pathogènes des animaux vers les êtres humains. Les participants ont souligné que les animaux ne devraient pas servir de magasin de pièces de rechange pour l’être humain.
- Lien externe : PubliForum « Médecine de transplantation » 1999-2000(en allemand)
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Der Zürcher Tierschutz hat eine ausführliche Studie unter dem Titel „Bio- und Gentechnik an Tieren“ veröffentlicht. Darin sind auch die neuesten Entwicklungen in der Xenotransplantation behandelt.Es wird befürchtet, dass bei Xenotransplantationen im schlimmsten Fall neue tödliche Krankheitserreger mit ungeahntem Verbreitungspotential unter Menschen entstehen könnten. Denn wenn Tierorgane in Menschen transplantiert werden, können die Krankheitserreger des Tieres auf den Menschen übertragen werden und verbleiben auf lange Zeit im menschlichen Körper. Sie erhalten auf diese Weise möglicherweise ideale Voraussetzungen, um die Artengrenze zu durchbrechen und vom Tier auf den Menschen überzuspringen.